Historique       

VISION

Au cours de sa création, FIDEA a comme vision de prédire l’avenir. Il nous faut recentrer la perspective des Etats et celle de la coopération internationale sur  l’amélioration de la qualité de vie des hommes et des femmes en Afrique et les Africains de diaspora que nous appelons en général « Enfant Africain ». Le moteur-clé du développement est la capacité d’action des femmes et des hommes. Le développement durable repose d’abord sur la créativité des gens, sur la productivité culturelle, sociale et économique de la population. D’autres facteurs sont importants, qu’il s’agisse des politiques des Etats, de la réglementation internationale des marchés, de la recherche et de la négociation des conflits. Toutefois, ces politiques ne peuvent être mises en place sans l’appui informé et éveillé de la population. Les changements structurels ne pourront devenir opérants sans l’action compétente et imaginative des Enfants Africains au Nord comme au Sud. Notre vision commune sur le développement international après 2015, insiste sur trois points :

• Le développement continu de la capacité d’action des populations et des conditions à mettre en place à cette fin,
•  Deuxièmement les liens, la synergie, entre l’éducation et les autres composantes du développement, telles que la sécurité alimentaire, la santé, le travail, la protection de l’environnement, la paix, le respect des droits humains.
• Et pour terminer, le rôle majeur de la société civile

 MISSION

La FIDEA tire son origine dans un groupe de réflexion sur les conditions de vie des enfants Africains vivant en Afrique d’une part et ceux originaires de l’Afrique (Africain de diaspora) d’ autre part. Dans cette optique et sur base des actions de développement, l’asbl FIDEA se fixe les missions suivantes :

• Restaurer les valeurs socioculturelles de l’enfant Africain  à travers les forums d’échange
• Organiser les ateliers et/ou séminaires de formations pour échanger d’expériences.
• La résolution des conflits : mettre au point des moyens adéquats permettant de régler les conflits d’ordre ethnique, tribal, national et international.
• Défendre les droits et éduquer les devoirs de l’enfant Africain